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Empire Proodos

Ilios
Ilios
676
18/01/2020
DÉESSE
#Empire Proodos  EmptyVen 30 Avr - 21:09

Proodos

Les régions de l'empire

Le Grand Empire du Sud

Au sud des terres alasyennes, par delà les eaux de la mer Vathys, s’étend le grand Empire prodosien. Riche de ses cultures diverses, de ses connaissances insoupçonnées et de sa faune et flore variées, l’Empire a su rassembler sous une même bannière la totalité des terres du continent sudiste après des années de conquêtes mouvementées.  

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Prooda
Région nommée à l’effigie de l’Empire, elle regroupe les premiers royaumes conquis par la famille impériale au cours du siècle dernier, en plus d’abriter la capitale prodosienne ; Aimah. Brodée de plaines verdoyantes, ses terres riches regorgent d’une vaste variété de plantes plus exotiques les unes que les autres et d’animaux atypiques. Cette partie du continent étant bercée par des températures douces et chaudes, la région connaît une très courte période de pluie à la saison du Repos. Grâce à ce climat clément et à la fertilité du sol, la région fait le bonheur des agriculteurs du continent sudiste.

Ayant oublié à quoi ressemblait la vie avant la conquête de l’Empire (débutée au siècle passé), rares sont les habitants qui expriment de la rancune envers la famille impériale et au contraire, ces derniers sont plus enclins à manifester de la fierté et de la loyauté à celle qui leur a promis paix et protection.


Dytika
L’ancien royaume de Dytika est un territoire riche en paysages uniques en leur genre. Qu’il s’agisse de son désert aux températures étouffantes, de ses plages de sable fin ou encore, de ses villes et villages à l’architecture singulière, cette région côtière est aussi splendide qu’elle peut se montrer dangereuse et inhospitalière.

De par sa localisation, le pays a bâti et développé son économie sur le commerce maritime. Les étales des marchés regorgent de richesses issues de l’océan et les ports constellent la côte. Le plus imposant d’entre eux est, indéniablement, celui de l’ancienne capitale : Pesak.

Bien qu’à l’heure actuelle, la Dityka est éblouissante de beauté, par le passé, elle a connu des heures bien sombres. Ce peuple fier fut parmi l’un des premiers à devoir faire face à la montée en puissance de l’Empire et, malgré une lutte véhémente, le territoire fut conquis et annexé. Une étincelle d’insoumission réside encore dans l’âme de nombreux ditykiens mais le massacre de l’entièreté de la lignée royale a su soumettre ce peuple, à tel point que les nouvelles générations apprennent de moins en moins leur langue ancestrale. Toutefois, les cœurs les plus fervents n’oublient pas la grandeur de la Dityka d’autrefois et 80 ans après la conquête, les bruits courent encore, les rumeurs circulent toujours et les doutes ne font que se répandre davantage. La lignée royale est-elle réellement éteinte comme beaucoup le croient ? Rien n’est moins sûr…

Notia
À l’extrême Sud, là où la Tundra et les collines s’étendent à perte de vue, là où les journées sont fraîches et que les nuits le sont encore plus, se situe l’ancien royaume de Notia. Au sommet des interminables falaises de la côte Ouest, une vie paysanne attend la plupart de ses habitants.

Bergers ayant pris le rôle de guerriers, leurs chances contre le grand Empire envahisseur étaient nulles. Malgré leurs vaines tentatives de défendre leurs plaines bien-aimées, ils furent asservis comme tous les autres.

Bien qu’il s’agisse de la région mère du Magistrat, principale force rebelle contre le pouvoir impérial, la population reste néanmoins généralement soumise au joug de l’Impératrice et de sa famille depuis plus d’une vingtaine d’années. Et pourtant, cela n’empêche en rien la forte présence de l’armée impériale, prête à tout pour éliminer une bonne fois pour toute la tête derrière cette disparité, sachant faire preuve de brutalité pour persuader quiconque s’opposant à elle.

Si une partie de la population a accepté l’autorité de l’Empire et désire désormais prospérer à ses côtés, une autre part aimerait retrouver la tranquillité et l’indépendance d’autrefois...

Napuuri
S’il y a une région qui n’a pas causé de souci majeur à l’avancée des troupes impériales, c’est bien celle de Napuuri. Lorsque l'armée a franchi la frontière, les dirigeants ont aussitôt capitulé. Certains les ont accusé de lâcheté, d’autres leur ont donné raison, et malgré les 50 ans de conquêtes écoulés, cette réputation ambivalente poursuit encore les Napuuriens.

Grâce à cet assujettissement volontaire et l’absence de résistance envers l’envahisseur venu de l’Ouest, la famille royale du pays fut épargnée, en faisant la seule encore vivante à ce jour. Bien que magnanime, l’Empire n’accorde aucun pouvoir aux sangs bleus de Napuuri et ceux-ci sont contraints d’obéir aux ordres de l’un des membres de la famille impériale qui réside dans la région. Aux yeux de la puissance impériale, cette lignée royale n’est rien de plus qu’une façade qui sert à apaiser le peuple, un intermédiaire entre les conquis et la famille impériale, ils ne sont que des représentants sans pouvoir.

La région est bordée de montagnes à l’Est et au Sud et le reste du territoire est riche en forêts dont la végétation est luxuriante grâce à la chaleur humide. Des points d’eau de tailles diverses et variées parsèment les terres. Cette abondance de ressources forestières a poussé le développement du pays vers la construction navale ainsi que la pêche. Les Napuuriens se vantent fièrement du fait que les pièces les plus ouvragées et époustouflantes de la flotte Impériale sont nées dans leur région verdoyante.

Wist'uuhn
Conquis il y a de cela une dizaine d’années, le peuple de Wist’uuhn est celui qui s’est le plus opposé à la conquête de ses terres par l’Empire.  

Protégés par la forêt épaisse et les montagnes escarpées, les habitants ont défendu leur territoire jusqu’à la fin, bien trop fiers que pour s’avouer vaincus. Cette obstination sans limite fut la cause du plus grand massacre connu du continent. Désormais soumis à la domination impériale, les survivants qui se souviennent encore de ces terres enneigées et tachées du sang de leurs proches, prient en silence afin de trouver vengeance pour ceux ayant péris pour défendre leur précieuse indépendance.

Vivant de la chasse et de la pêche, cette population de l’extrême sud-est a toujours vécu isolée des grandes civilisations. Bien que solidaire, ce peuple au mode de vie primaire n’admet pas la faiblesse. Ceux qui ne sont destinés à survivre périssent, et ce, pour le bien de la communauté. Terrées au cœur du territoire, tout près du lac éternellement gelé, là où les températures sont hivernales (ou glaciales), les habitants optent pour une vie en communauté au sein de la Grande Tour ; Lednik qui jadis était infranchissable.

Si à son sommet régnait autrefois la Matriarche, un représentant impérial siège aujourd’hui sur ce trône sacré.